Canne splash


Pour le dernier atelier de l’année, ce 12 décembre, l’ambiance a été légèrement déjantée comme d’habitude, et très intéressante (également comme d’habitude).

Le thème était la canne splash, dérivée de la canne cervelle, mais en plus élaborée.

Je ne saurais dire si c’était la proximité des fêtes de fins d’année, la profusion de chocolats et gourmandises, ou la présence d’un deuxième homme (un nouveau…) mais il y avait un parfum d’euphorie dans la pièce.

Euphorie qui a ammené Flo, peut être dans une démarche de séduction, peut être dans une démarche artistique, à nous autoriser 4 couleurs d’un coup!!! Connaissant ses habitudes, où 2 couleurs sont un maximum, 3 une exception, l’hypothèse de l’artistique ne tient que difficilement la route. Et sans surprise, Michel a un petit peu jouer les fayots… Il faut dire que, dixit Florence, Michel avait une longue… canne, l’autorisant à la couper en 2 dans la longueur. Michel reviendra en 2010, j’espère que Maurice sera là pour m’aider à le détourner de ses mauvaises intentions.

Bon, hors cet incident bénin, nous avons appris plein de jolies choses, comme par exemple que la Fimo était toxique, sauf pour les belles mères. Ou que Fimo, anciennement marque de Eberhard Faber (au nom imprononçable) avait été racheté par Staedtler (dont le nom est, à mon sens, tout aussi imprononçable). Si le fabriquant va changer sur les paquets, la marque Fimo va perdurer – ce qui est le plus important.

Pour en revenir à la création du jour, car c’est malgré tout ce qui nous préoccupe le plus, voici mes oeuvres. Certes, le fait d’avoir le droit de prendre 4 couleurs n’autorise pas pour autant les harmonies les plus délirantes, il faut rester dans des tons coordonnés et contrastés. J’ai opté pour du sobre et de saison : chocolat, caramel (plus noir et sahara). Harmonie que j’aime particulièrement d’ailleurs.

D’autres, à visiter sur le site de Florence, se sont un peu plus lachés. L’avantage pour moi de cette sobriété est que Virginie (mon épouse) a trouvé cela intéressant et sympa.

En passant, j’ai réorganisé mon blog pour créer une section ateliers de groupe, et distinguer mes fournées personnelles (rares en ce moment) des créations collectives sous le haut patronnage de Florence. Cette section devait s’appeler kaspouting  en référence à une expression utilisée par notre vénérable professeur. Mot d’origine inconnue donc douteuse (sans doute belge, mais rien ne l’affirme) il a l’avantage d’être intrigant mais de dégager une image négative (du verbe kaspouter, il signifie rater). Je préfère donc rester sobre…

Ah, vivement la rentrée et les nouveaux ateliers…

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