Fournée 42 – Rorschach, kaleidoscope, dentelle…
Un lundi 26 sans soleil, ou pas trop (en fait, je sais plus). Bref, j’ai décidé de me prendre une partie de la journée pour faire atelier, boosté par celui du samedi d’avant.
Résultat mitigé.
Mais c’était prévisible car j’ai fait pas mal d’essais.
Ah tiens, on est samedi 31 et cet atelier date de lundi dernier… Je commence à prendre du retard dans la mise en ligne. C’est la fin de tout !
Mais, bref.
D’abord, d’abord y’a les préparatifs. C’est à dire du recyclage de pate beurk, en vue de faire d’autres choses. Que je vous montrerai par la suite, si cela abouti (ou quand ça aboutira, ce qui est plus dans l’esprit de la positive attitude).
Par définition, je ne vous en dit pas plus.
Nan, n’insistez pas.
Bon, ok, juste quelques indices : appareil photo, tampon, et Gustave. Entre autres.
Ah, vous voilà bien avancé(e)s !
Et je ne vous montre rien pour l’instant. Nan. Pourtant, c’est ce qui m’a pris le plus de temps…
Voilà pour ça.
Ensuite, il y a les restes de la cane du cours kaleidoscopes. J’ai essayé de reduire l’hexagone, mais il est parti en vrille, trop mou sans doute. Tant qu’à vriller, autant vriller ; cela donne les perles vrillées en bas à gauche, un peu sombre (ce qui était prévisible). Le bout de triangle donne l’espèce d’étoile en haut à gauche, intéressant mais hélas mal soudé (cela se voit beaucoup d’un côté). Les trois autres rouges sont ce qui reste du reste de tous les restes de la canne, à différents passages de la machine à pâte, et après adjonction de nacre et de blanc pour éclaircir.
Et à force d’éclaircir, cela donne le violet de droite, divers essais de dégradés, de textures (dentelle, que l’on distingue un peu, et bouton…)
Moyennement satisfait, j’ai décidé de tenter un truc un peu construit… Pour changer diront les mauvaises langues, si elles lisaient ce billet. Mais je doute que les mauvaises langues fréquentent mon blog, qui est réservé aux gens comme il faut. D’ailleurs, si vous n’êtes pas comme il faut, allez voir ailleurs. Ouste !
Bref, je m’égare.
Sortant d’un cours sur les canes kaleidoscopes, je suis donc parti dans la même direction.
Ce qui donne une cane Rorschach, en partant du livre de Carol Blackburn. Un collier aux tendances ethniques avec au centre soit une grosse perle, soit un pendentif (soit les deux ?), et la bague assortie.
Si, curieusement, cela ne ressemble pas du tout aux photos du livre (pour ceux qui l’ont, page 58), le résultat se tient, même si on dirait plutôt des zébrures (vanille+blanc pour les claires, et marron un peu violet (?) pour les foncées).